Parcours

Julie Tirard est née à Aubagne, près de Marseille. Elle écrit du théâtre et de la poésie.
En 2022, elle écrit Jusqu’à ce que le mur tienne (Éditions Les Bras Nus, 2025). Le texte est sélectionné par le comité des lectures de la Comédie Française et lauréat de l’Aide à la Création ARTCENA en 2023. Il est mis en lecture à Marseille lors du Festival Actoral la même année, puis à Grenoble, lors du Festival Regards Croisés l’année d’après. En 2023, La chouette Le cri (Éditions Les Bras Nus, 2026), son second texte, est lauréat du Prix Koltès et Coup de cœur du Théâtre de la Tête Noire. Il est mis en lecture à l’EBMK de Metz en 2023, au Festival Voilà ! de Verdun, et lors des Voix du Bivouac, à la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon en 2024. En 2025, le comédien et metteur en scène réunionnais Nicolas Givran lui propose d’écrire le texte de sa prochaine création. Elle accompagne ainsi la compagnie Qu’avez-vous fait de ma bonté ? en résidence aux Tréteaux de France d’Aubervilliers, puis à l’EBMK de Metz, pour une sortie de création prévue en 2026.
Julie Tirard est également traductrice. En 2021, sa traduction de l’allemand Femme disparaît (versions) (L’Arche, 2021) de Julia Haenni est remarquée par différents comités de lecture (Troisième Bureau, Eurodram) et mise en voix dans plusieurs festivals dont celui de La Mousson d’Été, avant d’être créée au Théâtre Poche de Genève par Selma Alaoui, puis reprise par Giulia Rumasuglia en 2024. Fin 2024, elle reçoit de nouveau l’Aide à la Création ARTCENA, cette fois pour sa traduction Proie (L’Arche, 2024), de l’autrice allemande Ivana Sokola. En 2025, sa traduction de l’anglais LOVE / Un exercice argumentatif (L’Arche, 2024), de Sivan Ben Yishai, est invitée au Festival Regards Croisés. Fin 2025 paraîtra son premier livre de poèmes Comme un univers mort / lointain / et toujours lumineux, aux éditions Encrages & co.
Julie Tirard vit à Leipzig, en Allemagne.